samedi 15 juin 2019

Ressources pour le thème de la question ouvrière

Les inégalités sociales

Fiche d'activité : budgets ouvrier et bourgeois





La consigne
Comparer les deux tableaux : niveaux de revenus, type de dépenses, inégalités de patrimoine. Expliquer en quoi on peut aussi parler d'une inégalité des chances pour les enfants ouvriers/bourgeois

Remarques
  • Evidemment sur l'image 1, la partie droite correspond à des éléments de correction qu'on ne donne pas aux élèves
  • Au vu du programme, le doc 2 n'est pas à étudier pour lui-même (alors qu'il y a des fils très intéressants à tirer, notamment les 3 formes de "capital") mais sert de contrepoint au doc 1


La captation de la valeur ajoutée

Mouvement ouvrier et répression

Fourmies avant/après




Histoire du 1er mai


Deux possibilités pour une courte analyse  HDA



Valloton, La charge, 1893

André Devambez, La charge, 1902 

Socialisme utopique et conquêtes sociales



palais social familistère de guise 1896


Un travail de synthèse réalisé par un collègue pour une chronologie des conquêtes sociales françaises dans leur contexte.

Un prolongement possible (qui pourrait par exemple intéresser des collègues de SES, ou pour une étude en Histoire sur le temps long) sur la moyennisation des sociétés et l'accès des ouvriers pendant les 30 Glorieuses à ce qu'on pourrait appeler la "classe moyenne"



Remarque : ici encore, la partie de droite correspond à des éléments de correction, qui ne sont pas à distribuer aux élèves


Synthèse de la séquence :


Les expositions universelles, témoins de leur temps

" Qu’avec la bénédiction du Dieu, cette réalisation contribue au bien-être de mon peuple et serve l’intérêt de la race humaine, en encourageant les arts de l’industrie et de la paix, en renforçant les liens qui unissent les nations de la terre et en établissant une rivalité amicale et honorable par laquelle pourront s’exercer les facultés qui nous ont été données par la bienveillante Providence. »

C'est en ces termes que la reine Victoria en 1951 inaugure la première exposition universelle de l'histoire, dans le premier bâtiment de fer et de verre jamais construit, le Crystal Palace. Ce faisant, elle consacre le rôle de leader du Royaume-Uni dans la nouvelle économie qui se met en place et le monde qui en découle.




Pour le Suisse Beat Wyss, auteur de Images de la mondialisation, exposition universelle de Paris en 1889, l’Exposition universelle de 1889, la quatrième, marque une étape décisive dans l’histoire de la mondialisation. Les trois premières avaient été conçues comme des foires pour les producteurs et les commerçants. Mais « elles se transformèrent vite en gigantesques spectacles sur la scène desquels des artisans et des artistes de tous les coins du monde venaient présenter leur culture », note Peter Geimer dans la Frankfurter Allgemeine Zeitung. 

L’exposition de 1889 est l’acmé de ce processus : elle battit tous les records : 32 millions de visiteurs, 62 000 exposants venus de 54 pays. « Elle marque le début du tourisme de masse. Elle est aussi la première exposition universelle à attirer à ce point l’attention des médias du monde entier. » Pour la première fois, on voit apparaître, au pied de la tour Eiffel, un véritable « village planétaire ». Les échoppes proposant de la nourriture des quatre coins du monde rencontrèrent un immense succès et "à  travers l’acte de manger, la distance avec les mondes lointains est abolie ». "Cette entreprise fut une tentative de faire du monde un lieu homogène d’expérience, lisible pour le public de masse ».


A noter que la BnF propose sur son site une exposition virtuelle consacrée aux expositions universelles parisiennes
Consulter aussi  le site de Sylvain Ageorges : http://www.expositions-universelles.fr/index.html


L'exposition universelle de 1900



doc 1

La Tour Eiffel illuminée par l’électricité pour l’exposition universelle de Paris en 1900.


doc 2
Publicité pour le chocolat Suchard présentant l’intérieur du Grand Palais, construit pour l’occasion. Le Grand Palais abritait les expositions de peinture française, y compris les nouveaux courants (impressionnisme …)

doc 3

Les infrastructures de l’exposition pour accueillir les 50 millions de visiteurs



doc 4

Les pavillons d'exposition sur le champ de Mars

doc 5 :







Possibilité à partir de ces documents de proposer un exercice de réponse argumentée. Etant donné les thèmes abordés, je pense qu'il faut proposer cet exercice en fin de séquence


En quoi l'exposition universelle de Paris est le témoin de la société de son époque ?


Définition du sujet : Construire l’introduction
Les questions à se poser : 
Qu’est-ce qu’une exposition universelle ? Comment nommer et définir la société de la France de 1900 ?

Tenues régulièrement depuis 1851 (date de l’exposition universelle de Londres dans le Crystal Palace), ces expositions internationales sont l’occasion pour chaque Etat de présenter au monde le meilleur de ses réalisations techniques et culturelles. En 1900, Paris accueille pour la 2e fois l’exposition universelle. C’est alors en France ce qu’on appelle la « Belle Epoque ». La société française est traversée par un courant puissant d’optimisme et d’intérêt pour les progrès scientifiques et techniques. Ceux-ci apportent d’importantes transformations et de vraies améliorations dans leurs modes de vie. L’exposition universelle lui sert de vitrine. Elle est aussi le témoin assez fidèle de la société de son temps. En très grand nombre (50 millions de visiteurs) les Français viennent y découvrir non seulement les nouveautés industrielles et technologiques mais aussi, comme au spectacle, les joies de cette nouvelle société de loisirs que les progrès du temps rendent enfin possible. Ils enorgueillissent enfin. des splendeurs de l’exposition coloniale. 



Travail préparatoire : Faire le lien entre les documents et le cours.

Quels thèmes les documents abordent-ils sur lesquels on a des éléments de connaissance tirés du cours ?

Doc 1 avec la Tour Eiffel = fonction de vitrine + fonction symbolique : rappel de la grandeur de la France qui a produit les droits de l’Homme => la lumière électrique = le génie français qui éclaire le monde.

Doc 2 = 3 éléments :

· le support = doc est une publicité => possibilité de développer des éléments de connaissance sur la nouvelle économie = production de masse donc essor de la consommation, compétition entre les entreprises de tous pays pour vendre tjs plus, amélioration du niveau de vie et du confort. + D’où vient le chocolat = d’Afrique ou d’Amérique du sud càd des colonies => possibilité de dvlpper des éléments sur l’économie coloniale.

· Le contenu : Grand palais est encore actuellement un lieu dévolu aux grandes expositions culturelles à Paris. Il est construit pour l’occasion. On retrouve la fonction de vitrine. L’architecture est importante : comme pour le crystal palace = ampleur + verrière.

· Le Gd Palais servait à présenter les expositions de peinture, y compris dans les nouveautés = l’impressionnisme. C’est en effet à paris que s’invente la nouvelle peinture de l’époque, rompant avec les codes académiques (réalisme du traitement, sujets mythologiques ou historiques) pour adapter le regard de la peinture à la modernité du temps. Cf. la Gare St Lazare de Chaude Monnet.

Doc 3 = les transformations de Paris pour accueillir l’exposition universelle = le métro, une nouvelle gare, autant d’infrastructures qui resteront et qui ont, au-delà de l’aspect pratique d’acheminement des visiteurs, aussi une fonction de prestige = doter la capitale de moyens de transport modernes et efficaces => rivaliser avec Londres

Doc 4 = chaque pavillon présente un secteur industriel : il y a les secteurs déjà un peu anciens comme le textile, les mines et la métallurgie, mais aussi les pavillons présentant les dernières nouveautés de l’industrie chimique (base de l’industrie pharmaceutique) ou le palais de l’électricité qui permettait de découvrir le fonctionnement et les applications de cette nouvelle source d’énergie, la « fée électricité » comme on disait à l’époque. Ces pavillons sont appelés « palais » : la technique est la nouvelle reine de l’époque. Elle est la source du développement économique, de l’amélioration des conditions de vie. Elle promet le bonheur à tous.

Doc 5 = les richesses coloniales =>

· Deux empires en compétition

· L’économie coloniale

· La découverte d’autres cultures (cf. pagode …) mais colonialisme fort à cette époque = mission civilisatrice de l’Europe, racisme …



Plan détaillé rédigé

Rappels et conseils :
· toute argumentation se construit toujours de la même manière. Enonciation de la thèse, puis du premier argument, justification de l’argument par l’exemple, puis éventuellement explication, nuance, approfondissement… On passe ensuite au 2e argument relié au précédent par une transition et à nouveau justification …On part toujours du général pour préciser au fur et à mesure sa pensée. 


· Rédigez des phrases simples, syntaxiquement correctes. Reliez vos phrases entre elles par des connecteurs. Précisez toujours vos sujets. Chacune de vos phrases doit apporter une information nouvelle, qui fait progresser le raisonnement. 



I/ L’exposition universelle de 1900 est une vitrine du génie français

A) Paris, une capitale moderne

Les travaux dans Paris pour accueillir l’exposition universelle = les transports (gare, métro, trottoir roulant), les espaces d’exposition (Grand Palais et sa grande verrière)…autant d’occasions de rendre manifeste la maîtrise technique des innovations les plus récentes et les plus modernes. 

B) Paris, un haut lieu de la civilisation

L’illumination de la tour Eiffel le soir est en soi tout un symbole de ce que l’image que la France veut donner d’elle-même au reste du monde : modernité technique, audace artistique (impressionnisme), génie politique précurseur puisque cette tour, construite pour l’exposition universelle de 1889, rappelle la révolution française. Or, la rev fra, comme celle des EUA sert de modèle pour tous les peuples épris de liberté (DDHC) 

II/ L’exposition universelle rend hommage au progrès.

A) Le progrès technique est source d’enrichissement

Sur le champ de Mars, la présence des palais de l’industrie rappellent le rôle essentiel des progrès techniques dans l’économie. En effet, la révolution industrielle, qui permet au 19e siècle l’enrichissement considérable des nations européennes, a été possible grâce à la mécanisation (cf. textile), à la domestication de nouvelles sources d’énergie (cf. mines) et à la mise au point de nouveaux matériaux (cf. constructions mécaniques et sidérurgie). Le RU, berceau de la révolution industrielle est à cet égard le pays le plus riche d’Europe encore en 1900, même si de nvx concurrents sont apparus, comme l’Allemagne, appuyée entre autres sur la tte récente industrie chimique et dans une moindre mesure la France. Les visiteurs ébaudis découvrent donc dans ces palais les nouvelles machines : Ils s’émerveillent de leurs prouesses techniques qui permettront aux industries de produire en masse les nouveaux produits qu’ils consommeront bientôt, à des prix sans cesse plus accessibles. La publicité qui se développe et dont nous voyons la trace avec le document 2 les incite à entrer dans la nouvelle ère de la prospérité : celle de la consommation de masse. 

B) Le progrès technique transforme la vie

L’exposition universelle est un spectacle, une féérie qui a attiré 50 millions de visiteurs, venus de toute la France et du reste de l’Europe. On y montre les nouveautés qui changent la vie quotidienne et ouvrent de nouveaux horizons. En 1900, les visiteurs découvrent l’électricité qui illumine la tour Eiffel. Bientôt « la fée électricité » permettra d’éclairer la rue et entrera dans les foyers. Plus tard, elle actionnera les machines, toujours plus petites et plus pratiques. Le cinématographe est aussi une des grandes attractions de l’exposition. Le président de conseil de la République française viendra même assister à une des premières représentations de cette merveille, inventée par les frères Lumière, des Français. Le trottoir roulant à deux vitesses ravit la population qui fait le rêve d’un monde où le progrès fera disparaître les travaux pénibles. 

III/ L’exposition universelle témoigne de l’idée répandue de la supériorité de l’Homme Blanc

A) La mission civilisatrice de l’Homme blanc

Chaque puissance coloniale expose dans différents pavillons les éléments caractéristiques et exotiques des peuples conquis (architectures, modes de vie, produits agricoles). Il ne faut pas y voir pour autant autre chose qu’un attrait pour le dépaysement. Les Européens ne rendent pas hommage à d’autres cultures et encore moins à d’autres civilisations : ils sont persuadés que seule l’Europe est civilisée et qu’elle apporte en outre-mer les bienfaits de cette civilisation. L’exposition coloniale a donc plutôt pour objet de permettre de mesurer l’écart entre les modes de vie indigènes et l’excellence du modèle européen, cet écart justifiant a posteriori la colonisation elle-même. L’exposition coloniale est donc un moyen de renforcer sa bonne conscience. 

B) Les colonies, facteurs de puissance

Pour continuer à justifier la colonisation, les avantages de la possession de colonies sont mis en avant : les produits agricoles et les matières premières, importés à bas prix des colonies, sont devenus indispensables aux industries européennes (cf. le coton d’Inde à la base du succès de l’industrie textile britannique). Plus généralement, la possession de colonies est un des signes extérieurs de la puissance. Malgré la conférence de Berlin, les pays européens sont d’ailleurs toujours en 1900 en lutte pour délimiter précisément les contours de leurs empires, ce qui n’est pas sans provoquer des tensions. En 1900 néanmoins, l’affaire est entendue : les deux plus grands empires sont britannique et français. 



Conclusion : elle doit permettre un bilan càd une synthèse de ce qui a été dit mais qui approfondit et cloture la reflexion

L’exposition universelle est donc le lieu de la compétition pacifique des plus grandes nations industrielles. Chacune d’entre elle s’y présente sous son meilleur jour et tente d’y prouver sa supériorité technique, économique, culturelle. A l’occasion des expositions universelles sont d’ailleurs organisés des concours. Le point central de cette confrontation est la modernité : chacun doit montrer qu’il est plus avancé, plus développé que l’autre. Pour autant cette compétition bon enfant, qui ravit les visiteurs à qui, somme toute, on offre un grand spectacle, ne doit pas nous cacher la face sombre de la « Belle époque » : les inégalités sociales et la misère qui excluent de l’optimisme ambiant les catégories populaires mais aussi les rivalités commerciales, territoriales et parfois militaires de pays qui, en 1914, s’engageront dans le conflit le plus meurtrier de l’histoire mondiale.

vendredi 14 juin 2019

Schneider interviewé


 Interview de Henri Schneider, sidérurgiste du Creusot

Est-il indispensable que le directeur d’une usine absorbe à lui seul tous les bénéfices ?
Pensez-vous qu’il ne faille pas d’argent pour faire marcher une « boite » comme celle-ci ? […] Le capital qui alimente tous les jours les usines, les outillages perfectionnés, le capital sans lequel rien n’est possible, qui nourrit l’ouvrier lui-même ! Ne représente t-il pas une force qui doit avoir sa part de bénéfices ? […] Il y a un ouvrier, parmi les mille que j’ai embauchés, qui gagnait 100 sous par jour : il s’est dit : « Tiens Bibi n’a besoin que de 4 francs pour vivre. Bibi va mettre de côté 20 sous tous les jours et au bout d’une année, il aura 365 francs » ; il recommence l’année suivante, dix ans, vingt ans de suite, et voilà un capitaliste ! Presque un petit patron ! Son fils pourra agrandir le capital paternel et c’est peut-être la grande fortune qui commence. La trouverez-vous mal gagnée ? […]
Mais si l’ouvrier a 5 enfants, comment mettra t-il de l’argent de côté ?
Ah, ça, c’est une loi fatale …On tâche ici de corriger le plus qu’on peut cette inégalité, mais comment la supprimer ? Oh ! A cet égard, le Pape a dit tout ce qu’il y avait à dire ; je trouve que sa dernière encyclique (nom des recommandations émises par le Pape) est une merveille de sagesse et de bon sens. Il y explique que le patron a des devoirs étroits à remplir vis-à-vis de ses salariés, et c’est vrai.

Croyez-vous que les crises de surproduction sont fatales, et que pour empêcher le chômage qui en résulte, une entente soit possible entre les patrons ?
Pas du tout ! C’est un mal nécessaire, on n’y peut absolument rien ! La production dépend de la mode, ou d’un courant dont on ne peut prévoir ni la durée ni le développement […] Aujourd’hui tout est au « militaire », on ne fait que des canons en acier et des plaques de blindages ; demain, ce mouvement peut s’arrêter pour une cause ou une autre, qu’aujourd’hui nous ne pouvons pas prévoir. Donc, pléthore sur le marché, arrêt dans le travail, chômage, chômage forcé, fatal !

Croyez-vous que la concentration des capitaux et des moyens de production a atteint son maximum ou doit encore se développer ?
Il n’y a pas de maximum ! s’écrie rudement M. Schneider et ses mains font un grand geste autour de lui. Ça marche toujours, ça n’a pas de bornes, ça !

Et l’action de l’Etat ?
Très mauvaise ! Très mauvaise ! Je n’admets pas un préfet dans les grèves ; c’est comme la réglementation du travail des femmes et des enfants : on met des entraves inutiles, trop étroites, nuisibles surtout aux intéressés qu’on veut défendre. On décourage les patrons de les employer.

La journée de Huit heures ?
Oh ! Je veux bien ! dit M. Schneider. […] si tout le monde est d’accord. Seulement les salaires diminueront ou le prix des produits augmentera, c’est tout comme ! Au fond, la journée de huit heures est une lubie. Dans 5 ou 6 ans, on n’y pensera plus. […] Pour moi, la vérité c’est qu’un ouvrier bien portant peut très bien faire ses 10 heures par jour et on doit le laisser libre de travailler davantage si cela lui fait plaisir.
J. Huret, Enquête sur la question sociale en Europe, Paris, 1897.



 Consignes pour l'analyse du document 

  1. BIOGRAPHIE DE SCHNEIDER
Présenter Henri Schneider (origines familiales, mariages et relations, carrière) ? Pourquoi peut-on dire de lui que c’est un capitaliste ? Que connaissez-vous de la carrière de Schneider qui montre qu’il tente de contrôler le pouvoir politique. A qui peut bien lui servir son influence sur le pouvoir politique (réfléchissez à partir de l’exemple qu’il développe sur la production sidérurgique pour l’armée)


  1. SCHNEIDER, PATRON PATERNALISTE
Pourquoi peut-on dire de lui que c’est un patron paternaliste ? (à quel moment du texte y fait-il allusion ? citez) Que pense H. Schneider des ouvriers ?


  1. SCHNEIDER, PATRON LIBERAL
Dans quelles réponses voit-on que Schneider est un libéral ? (Justifiez )
Dans la réponse à la question 1, comment Schneider justifie t-il qu’une fois déduit les salaires des ouvriers, tout le bénéfice de l’entreprise rémunère le capital qu’il a lui-même investi dans l’entreprise ? Envisage t-il, dans la dernière question, de baisser la part des profits du capital d’une manière ou d’une autre ?


  1. LA CRITIQUE MARXISTE : L’OPINION DU JOURNALISTE
Quelles critiques, marxistes, peut-on faire de sa conception du partage de la richesse.
Quelle critique, marxiste, peut-on faire de sa conception des rapports patron/ouvrier ?


Un exemple du travail de correction avec les élèves. La forme de la carte mentale est adaptée à l'exercice d'argumentation car, ensemble, on classe et on hiérarchise les idées qui émergent du dialogue prof/élève




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